supported by 5 fans who also own “Dysthymic and Repressed”
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf NONE, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert
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I don't actually know what this is. If I had to put it into words, it's dark guitar riffs underscored by Baphomet passing a kidney stone. It's weird, the people who listen to it seem weird, and I'm just as weird because I listened to the album for forty minutes unbroken even though I spent the rest of the night thinking a demon was in my house. 10/10, wouldn't recommend unless you're really edgy. trustworthytim1313
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On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
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Savante concoction de depressive suicidal black metal et death/doom metal, The Cold Night nous engage dès les premières minutes avec des riffs apparemment simples mais terriblement accrocheurs, encore plus quand on arrive sur "I Hate Everything" ou encore "Ocean of Sorrow" dont la conclusion part carrément sur un death metal rapide. Yu adopte un chant fidèle au genre avec ces cris décharnés, tout en faisant preuve de petites audaces (je vous laisse découvrir ça sur "The Path to the End"). Jordan Vauvert